mardi 30 mars 2010

Serie de courts: 1

Sa bouche hilare avale ma verbe dont les mots s'accrochent sur son sourire.

Ses yeux coquelicots marchandent le sable enfoui dans mon poème sans fin.

Peau rouge a déterré la hache de guerre quand le vent lui souffla ma chevauchée de jument.

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