Une deux trois,…, trente, trente et un. Les nombres des années
s’enchaînent et la fossoyeuse m’attend
sur un nombre. Lequel je ne sais pas mais lorsque l’on sait compter jusqu’à 30,
le reste jusqu’à 100 n’est pas loin. De l’insouciance d’infini temporelle de la
jeunesse, il y a maintenant cette certitude de la finitude de ma vie. Et après
la fin de ce moi, qu’y-a-t-il ? Cette question est là car je n’appartiens
pas à une religion éternelle ou un peuple éternel qui pourrait dépasser mon individualité
et aussi car mon cerveau n’est pas lobotomisé par la télévision. Mais plouf elle disparait car une obligation de la vie m’attend. Je dois travailler...
mardi 16 juillet 2013
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