vendredi 26 septembre 2008

Le petit matin

Le réveil sonne emportant mes rêves. J'entends sa respiration qui m'appelle. Je me blottis contre son corps. Ses suées nocturnes embaument mon nez. C'est une odeur forte de transpiration mais qui m'est agréable. On somnole cinq minutes bras dans les bras. Elle dépose ses lèvres sur ma bouche et se lève. La pluie, dans la salle de bain, est une douce berceuse. Je m'endors. Mon visage frissonne. Des baisers papillons se posent un peu partout sur mon visage. Elle est là au-dessus de moi. Mon bras se lève et caresse son dos. Elle continue à papillonner mon visage. J'ouvre les yeux. Elle me sourit et s'en va s'habiller. De dos, elle choisit sa lingerie fine: un soutien gorge puis un string coquin, puis les s'enfile. Le reste des vêtements est en bas de l'étagère. Elle se cambre à quatre pattes pour les choisir m'offrant le plus excitant des panorama: ses fesses. Elles sont d’un blanc nacrées, rondes et fermes. Au creux des deux collines, il y à la rivière de dentelles me laissant entre apercevoir ces deux fondements. Mon désir érige une tour. Elle se redresse et finit de s’habiller rapidement. La matinée commence et ce panorama me suivra dans le roulis du RER.

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